MARTINE ROSE FOR NAPAPIJRI
Découvrir

Collection automne-hiver 2025
DécouvrirLivraison gratuite au point relais
Retours gratuit
€500,00
€380,00
€250,00
€250,00
€380,00
€400,00
€300,00
€140,00
€190,00
€200,00
Au contact d’Henry Chamberlain, vous n’avez qu’une seule envie : faire une pause et être à l’écoute de la nature. Et c’est précisément ce qu’il a fait. Après une carrière d’officier dans les Royal Marines et plusieurs campagnes humanitaires, il a fondé la Coastal Exploration Company dans le comté de Norfolk en 2016, qui propose des expériences de navigation lente, où explorer signifie aussi nager, surfer et apprendre à récolter et se nourrir de ce que la terre nous offre spontanément.
Quelles sont les valeurs de la Coastal Exploration Company ?
Le « slow living », c’est-à-dire le fait d’adopter un mode de vie plus lent, la tradition à travers notre flotte patrimoniale, l’aventure et la protection de l’environnement.
Vous étiez auparavant officier des Royal Marines et avez participé à des missions humanitaires. Quels enseignements tirés de ces expériences vous accompagnent dans cette « nouvelle » aventure ?
Dans ces deux professions, j'ai appris à survivre en milieu sauvage. J’ai conservé cet amour de la nature et je sais comment me débrouiller et m’occuper des autres dans ces conditions. Ces expériences m’ont aussi appris que rien n’est impossible (ou presque) si l’on s’en donne les moyens et que l’on croit en soi. Jamais je n’aurais pensé réussir la formation des Royal Marines, mais j’y suis parvenu étape par étape.
Que gardez-vous de l’Afrique ?
De la gratitude pour tout ce que nous avons au Royaume-Uni et en Europe. Tellement de personnes n’ont ni nourriture ni accès à l’eau potable... nous sommes chanceux d’avoir tout ça, et c’est donc notre responsabilité d’aider les autres, de mesurer notre chance et de préserver nos ressources. Pour moi, rien de tel qu’un verre d’eau potable bien fraîche. Après avoir dû boire de l’eau usée et insalubre dans le désert soudanais, je sais à quel point elle est précieuse et importante.
Quelles sont les valeurs de la Coastal Exploration Company ?
Le « slow living », c’est-à-dire le fait d’adopter un mode de vie plus lent, la tradition à travers notre flotte patrimoniale, l’aventure et la protection de l’environnement.
Vous étiez auparavant officier des Royal Marines et avez participé à des missions humanitaires. Quels enseignements tirés de ces expériences vous accompagnent dans cette « nouvelle » aventure ?
Dans ces deux professions, j'ai appris à survivre en milieu sauvage. J’ai conservé cet amour de la nature et je sais comment me débrouiller et m’occuper des autres dans ces conditions. Ces expériences m’ont aussi appris que rien n’est impossible (ou presque) si l’on s’en donne les moyens et que l’on croit en soi. Jamais je n’aurais pensé réussir la formation des Royal Marines, mais j’y suis parvenu étape par étape.
Que gardez-vous de l’Afrique ?
De la gratitude pour tout ce que nous avons au Royaume-Uni et en Europe. Tellement de personnes n’ont ni nourriture ni accès à l’eau potable... nous sommes chanceux d’avoir tout ça, et c’est donc notre responsabilité d’aider les autres, de mesurer notre chance et de préserver nos ressources. Pour moi, rien de tel qu’un verre d’eau potable bien fraîche. Après avoir dû boire de l’eau usée et insalubre dans le désert soudanais, je sais à quel point elle est précieuse et importante.
Comment réagissent les participants à vos explorations ?
Ils sont souvent sceptiques ou dubitatifs, mais une fois qu’on quitte le ponton et qu’on arrive dans le marais salant, on les voit véritablement lâcher prise. Nos explorations sont tellement immersives que nos clients découvrent souvent pour la première fois la puissance de la marée montante, le cri des pêcheurs d’huîtres ou le vol d’une nuée d’oies au-dessus de leur tête, l’absolue tranquillité des marais salants dépourvus de structures artificielles, et le silence du bateau glissant dans les criques.
Vous venez des côtes du Norfolk : quelles caractéristiques de cette région vous ressemblent le plus ?
C’est une région qui n’a aucun relief, ce qui rebute souvent les gens, mais il y règne une énergie incroyable en raison des très fortes marées qui montent et descendent deux fois par jour. Le paysage se transforme, passant du monde aquatique à une terre de sable deux fois par jour. Ce contraste incroyable fait que l'environnement doit constamment s’adapter.
Quel est votre rapport au bois, et plus particulièrement aux voiliers en bois ?
La protection de l’environnement est l’un de nos principes fondamentaux. À ce titre, nous sommes contre les bateaux en plastique, car ils sont fabriqués à partir de dérivés de combustibles fossiles, et ils mettent des années à se décomposer une fois abandonnés. Ils incarnent aussi le luxe et la vitesse, ce qui ne correspond pas à nos valeurs. Le bois est intrinsèquement lié à la nature, et la sensation que procure un matériau naturel est complètement différente, c’est incroyable, mais cela demande une attention et un entretien constants.
Aujourd’hui, que signifie réaliser un projet en harmonie avec le territoire et la communauté qui y vit ?
Face à l’évolution rapide du monde et les progrès de l’IA, je pense qu'il est d’autant plus important d'être en contact avec la nature et de la protéger, car sans elle, c’est notre mort assurée. Cela procure un équilibre important que nous perdons à une vitesse affolante.
Dans le Norfolk, la météo peut être capricieuse. Quel est votre rapport à l’orage et au froid en général ?
Le climat peut être rude, mais même dans les conditions les plus difficiles, l'inspiration et la beauté sont au rendez-vous. Avec une bonne préparation, en portant les bons vêtements, en ayant des boissons et de la nourriture chaudes, on peut non seulement survivre, mais aussi s'épanouir dans des environnements hostiles, et le sentiment que l'on éprouve après coup est d’autant plus fort. On éprouve un sentiment de victoire. On se sent plus vivant.
Comptez-vous franchir un jour les frontières du Royaume-Uni ?
Oui ! Nous avons un nouveau bateau qui pourra aller au-delà de nos frontières, un bateau de pêche du Norfolk de près de 13 mètres, beaucoup plus grand et plus puissant que nos autres navires. Nous attendons simplement l’obtention du code d’identification et nous pourrons mettre les voiles !
Aujourd’hui, que signifie réaliser un projet en harmonie avec le territoire et la communauté qui y vit ?
Face à l’évolution rapide du monde et les progrès de l’IA, je pense qu'il est d’autant plus important d'être en contact avec la nature et de la protéger, car sans elle, c’est notre mort assurée. Cela procure un équilibre important que nous perdons à une vitesse affolante.
Dans le Norfolk, la météo peut être capricieuse. Quel est votre rapport à l’orage et au froid en général ?
Le climat peut être rude, mais même dans les conditions les plus difficiles, l'inspiration et la beauté sont au rendez-vous. Avec une bonne préparation, en portant les bons vêtements, en ayant des boissons et de la nourriture chaudes, on peut non seulement survivre, mais aussi s'épanouir dans des environnements hostiles, et le sentiment que l'on éprouve après coup est d’autant plus fort. On éprouve un sentiment de victoire. On se sent plus vivant.
Comptez-vous franchir un jour les frontières du Royaume-Uni ?
Oui ! Nous avons un nouveau bateau qui pourra aller au-delà de nos frontières, un bateau de pêche du Norfolk de près de 13 mètres, beaucoup plus grand et plus puissant que nos autres navires. Nous attendons simplement l’obtention du code d’identification et nous pourrons mettre les voiles !
Votre panier est vide
Continuer mes achats
Abonnez-vous à notre newsletter
Veuillez vérifier dans votre boîte de réception que vous avez bien reçu l’e-mail contenant le Code Promotionnel avec la remise de 20 %.
Désolé, cet email existe deja, veuillez entrer un autre email.